Dossier Fryda Kelekele, le professeur Pandatimu subit la rigueur de la loi, voici l’arrêt de la cour
La cour d’appel de la province de la Tshopo a condamné vendredi, 06 octobre 2023, le juge et professeur Jean-Claud Padentimu à 12 ans de servitude pénale principale et 10.000 $ des dommages et intérêts à allouer à la victime (son ex épouse), avec arrestation immédiate. Un jugement qualifié d’exemplaire par la population.
Selon l’arrêt de la cour, le professeur est condamné à 5 pour incitation des policiers et de 7 ans pour arrestation arbitraires de son ex épouse. Au total 12 ans de cervicale pénale.
La cour a prononcé son arrêt après une audience qui a durée toute une nuit, siégeant dans une salle, pleine à craquer. Le procès a été très suivi par toutes les parties, ainsi que par les organisations féminines et mouvements féministes de défense des droits de l’homme tant provinciaux que nationaux.
Dans le couloir de la cour d’appel où le public était en attente de prononcé, pour l’opinion, ce procès qui, en principe est revêtu d’un caractère d’impartialité dans son arrêt, a été pédagogique et va servir de modèle pour d’autres auteurs de violences faites à la femme.
Jugés en flagrance (comparution immédiate), le professeur Pandatimu et trois policiers, sont poursuivis pour traitement inhumain et dégradant infligé à Madame Fryda Kelekele. Un acte qui viole les droits de l’homme.
Cette décision de la justice, est la conséquence d’une vidéo devenue très virale sur les réseaux sociaux, dans laquelle l’on observe madame Fryda Kelekele, mère de 4 enfants, ex épouse du professeur, subir un traitement cruel par les éléments de la police et amenée dans des conditions inhumaines. Une situation qui a suscité une forte indignation des organisations féminines et mouvements féministes de défense des droits humains de la province de la Tshopo.
Les policiers, bien que condamnés, n’ont pas été radiés de la police nationale congolaise.
Efota
1 an agoMonsieur le professeur vous avez fait la honte de tout le professeur de la république démocratique du Congo, suite à cette actes qui est punissable à la loi et à la protocoles des droits de droits de l’homme à son article 5 et à l’article 14 du présent constitution qui déclare c’est qui suit : les pouvoirs publics veillent à l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard de la femme et assurent la protection et la promotion de ses droits.
Ils prennent des mesures pour lutter contre toute forme de violences faites à la femme dans la vie publique et dans la vie privée. Merci pour l’accomplissement de cette déclaration. Maître Copernic Efota.
Maurice de watsa
1 an agoLe professeur doit subir les conséquences de la loi.il prend sa famme comme un joué, j’accepte les décisions de la cour.il doit donne exemple aux autres professeurs de l’université.avec leur pédagogie d’avoir plusieurs femmes a l’université enfin de refusé seul la qui ont souffert pour luis.12ans iko kidogo.